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La sophrologie, pour Julie, c’était le meilleur moyen « d’aider les autres »

Depuis toute petite, Julie Lodynski rêvait d’aider les autres. Après avoir tâtonné, elle a trouvé sa vocation dans la sophrologie.

La sophrologie, pour Julie, c’était le meilleur moyen « d’aider les autres »

Elle voit passer dans son cabinet toutes sortes de patients convertis à la «  relaxation dynamique  ».



Après un bac scientifique à Saint-Do, Julie Lodynski a cherché comment concrétiser son envie «  d’aider les gens  ». Elle pense à orthophoniste. «  Mais je n’ai pas eu le concours.  » En 2013, le hasard lui souffle sa voie. «  Hyperstressée, j’ai vu un homéopathe. Il a stabilisé mon état  ». Las, «  les études étaient chères  ».

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N’empêche, elle s’intéresse aux médecines douces, compare les vertus de la naturopathie, du yoga, de l’hypnose.. pour en arriver à la sophrologie. «  Je trouvais ça complet, une méthode naturelle pour trouver l’équilibre au quotidien.  » Vite, elle se décide et démarre une formation de deux ans, à Arras, financée par ses économies. «  J’ai fait le tri...  » La sienne lui a été recommandée par sa sophrologue, du sérieux même si le diplôme en soi n’est pas reconnu par l’État.

Lâcher prise

Durant deux ans, Julie potasse la théorie, et beaucoup la pratique de ce qui revient à de la «  relaxation dynamique. C’était important de savoir comment réagir face à un patient  ». Capital : «  Souvent, ils viennent sans savoir ce qu’est la sophrologie, et le lâcher prise peut faire peur.  » Dans son bureau sobrement décoré, elle a sa technique. «  Nous sommes assis et je ne regarde pas la personne, pour la mettre à l’aise, et je me détends aussi !  »

La séance peut durer de dix minutes à 1 h 30, le nombre nécessaire varie selon chacun. «  On discute avant, on peut évoquer un peu le passé mais nous sommes là avant tout pour parler du présent et se projeter. C’est un travail de respiration.  » Quelques mouvements, un lâcher prise au bord du sommeil... Le résultat, «  c’est du bien-être qu’on peut reproduire chez soi  ».

Pas d’âge limite

Pas de surprise, les femmes passent la porte plus souvent que les hommes, mais des chefs d’entreprise y ont trouvé le moyen «  de prendre du recul  ». Il n’y a pas d’âge : ça marche avec les enfants, réceptifs, elle suit aussi un groupe en maison de retraite. Le souci ? «  Les gens attendent trop longtemps. Une dame m’a dit qu’elle n’était pas bien depuis 5 ans, vous vous rendez compte ?  » Mais quand elle reçoit un mail de remerciement, elle se dit que ça y est, elle est utile.

Un contexte stressant

C’est clair, le climat ambiant joue sur notre moral. «  Dans les mails de mes patients, les attentats reviennent beaucoup.  » ...

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