Insomnie - Le taï-chi-chuan, une discipline pour un mieux-être

Jean-Luc Chaïr enseigne le taï-chi-chuan au Quai n° 10, à Mireval, Durfort et Avignonet-Lauragais. 

Ce qui a intéressé celui qui, pendant plus de vingt-cinq ans, a pratiqué le judo, c'est tous les bienfaits qu'apporte la pratique du taï-chi-chuan.



Il a de suite accroché et pour mieux maîtriser ce qu'il enseigne aujourd'hui, est même parti à Taïwan pour parfaire sa formation.

«C'est un des arts martiaux intimement lié à la médecine chinoise ; dans les universités de Chine, il en fait même partie intégrante. C'est un excellent complément à un traitement et apporte un mieux-être», explique-t-il.

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En parallèle de son apprentissage, Jean-Luc Chaïr a, d'ailleurs, étudié, pendant cinq ans, la médecine chinoise en région parisienne.


«On a de très bons résultats sur le stress, la tension, l'angoisse, la dépression, l'insomnie, les articulations. Des études américaines et chinoises l'ont prouvé», soulignant toutefois que la discipline exige «persévérance, rigueur et assiduité si on veut bénéficier de ses effets positifs sur le physique et le psychisme.

On apprend à travailler la lenteur patiemment. On est ici et maintenant et c'est magique. Le plus beau des cadeaux pour moi, c'est de voir des gens heureux des bienfaits que cela leur apporte».

Et de poursuivre : «On sait que les mouvements lents ralentissent les ondes cérébrales ; la respiration profonde, outre l'oxygénation qui retarde le vieillissement, a des effets sur le système nerveux ; elle calme et apaise le mental, neutralise les pensées parasites»...

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